En SEO il y a trois piliers : la technique, le linking et la sémantique. Le cocon sémantique s’inscrit dans un de ces trois piliers : saurez-vous le trouver ;p ?
Si l’on parle sémantique, dans un passé pas si lointain pour se référencer sur une requête dans Google il suffisait de mettre les bons mots clés au sein d’une page en respectant un balisage html logique (H1, H2…).
Mais ça c’était avant… Depuis quelques années pour se référencer sur une requête spécifique à fort potentiel, rédiger une page n’est plus suffisant, il faut désormais couvrir tout le champ lexical de la requête cible avec autant de pages organisées hiérarchiquement et reliées entre elles par un maillage interne spécifique – l’idée étant de disposer les informations en formation, comme dans une escadrille.
Cette architecture interne s’appelle le cocon sémantique (parfois grappe ou Topic Cluster outre Atlantique). Elle a un double objectif :
- convaincre l’internaute qu’il est arrivé au bon endroit, au bon moment et pour de bonnes raisons,
- orienter le robot Google dans un réseau de pages couvrant le champ lexical d’une thématique de manière complète.
La finalité étant de faire comprendre à nos deux cibles que nous sommes experts sur un sujet et donc légitime à en parler (avant les autres 😉 ).
Définition : Qu’est-ce qu’un cocon sémantique ?
A l’origine il y avait le silo
Théorisé par Bruce Clay, le siloing est une pratique qui consiste à organiser les pages d’un site web en groupes logiques appelés « silos ». Chaque silo est dédié à un sujet ou une thématique et les liens internes du sites sont structurés de manière à renforcer la pertinence de chaque silo.
L’idée du siloing est de fournir aux robots Google une organisation claire et cohérente du contenu d’un site web. Cette technique est donc plutôt adaptée pour structurer les arborescences de navigation des sites Internet – et particulièrement les sites E-commerce.
Le cocon sémantique tel qu’il a été théorisé par Laurent Bourrelly, reprend les idées du siloing en les adaptants à des organisations de pages avec un objectif plus éditorial et informationnel. En partant de là, à l’image d’un cocon familial qui regroupe des individus autour d’un patronyme, le cocon sémantique regroupe un ensemble de pages Internet autour d’un mot clé avec comme idée de créer une arborescence qui relie ces pages en fonction des mots ayant une proximité sémantique.
Si vous êtes encore là après avoir lu cette phrase, c’est bon signe ^^.
Je reprends, dis autrement en établissant une relation intelligente entre des mots et pages qui relèvent d’un même champ lexical, le site augmente ses chances de répondre aux requêtes formulées par les internautes sur les moteurs de recherche.
Pourquoi mettre en place un cocon sémantique ?
D’un point de vue purement SEO, le cocon sémantique a pour vocation de maximiser le PageRank, l’algorithme utilisé par Google pour classer les pages dans les SERP.
Qu’est-ce que le PageRank ?
Pour organiser son tri, le bot Google s’intéresse bien sûr à la quantité de liens, mais également à leur qualité.
À l’époque des premiers moteurs de recherche, les cofondateurs de Google – Serguëi Brin et Larry Page (un nom prédestiné) – cherchaient un moyen d’optimiser la pertinence des résultats de leur algorithme. L’idée de Larry Page fut de se baser sur les critères de crédibilité utilisés dans le monde des publications scientifiques pour distinguer les contributions qui font autorité : bibliographie, renvois, références, etc.
En d’autres termes à chaque fois qu’une page fait un lien vers une autre page elle lui transmet un peu d’autorité (PakeRank).
C’est cette approche qui leur a permis de déposer le premier brevet de PageRank – en 1998 – et de l’intégrer immédiatement dans la mécanique de leur outil. On peut aujourd’hui considérer que la rigueur de cette approche a joué un rôle décisif dans le succès planétaire de Google… et la stratégie des cocons sémantiques permet d’en tirer le meilleur parti.
En vulgarisant au maximum le cocon sémantique fonctionne comme une spirale de PageRank avec en bout de chaine une page qui reçoit du jus : la page mère.
Le robot va donc rentrer dans le cocon par différentes entrées en fonction de la structure et naviguer de page en page en transmettant une fraction de PageRank à chaque passage.
Le deuxième argument du cocon sémantique repose sur une règle simple : l’indice de performance d’un site est meilleur quand un internaute y passe davantage de temps.
Si les liens entre les pages sont bien pensés en amont, l’internaute passera aisément et volontiers d’une page à l’autre en restant sur le site. D’une certaine façon, il suivra le chemin intuitif imaginé par celui qui aura tissé le cocon.
Comment concevoir un cocon sémantique
Étape 1 : Définir le Buyer Persona
Comme dans toutes bonnes démarches marketing le point de départ d’une stratégie sémantique est le client et ses problématiques !
Quels sont les clients que l’on cible ? Quel est le profil-type des acheteurs potentiels visés par les services et/ou produits présentés ? Quelles sont leurs problématiques ?
La réponse à ces questions permet de définir ce qu’on appelle le Buyer Persona. C’est une personnalisation semi fictive d’une typologie de vos clients. On va y retrouver notamment des données sociaux démographiques, géographiques, un genre, un âge, ses habitudes de consommation, les médias de prédilection etc
Ces éléments permettent de structurer la fiche persona et de dessiner un contexte, pour autant dans le cadre d’une stratégie Inbound, le seul élément réellement actionnable est la partie « problématiques ».
Pour identifier des problématiques objectives (oui oui c’est vraiment important) eh bien l’étape indispensable est de prendre son téléphone et de réaliser des interviews avec vos clients.
Des problématiques vont découler des pistes de solution et donc naturellement des contenus premiums, un parcours d’achat (la buyer journey) et une stratégie de mot clés.
Étape 2 : Positionner les problématiques de vos cibles dans la buyer Journey
Chaque prospect suis un parcours d’achat (Buyer journey) qui se compose accademiquement de trois étapes :
- Prise de conscience de la problématique
- Considération
- Décision
Ce document retrace les différents points d’interactions du prospect jusqu’à ce qu’il devienne client, et même après.
Par problématique on entend les différentes questions que le persona est amené à se poser dans sa vie professionnelle, pour les découvrir rien ne vaut les interviews téléphoniques (entre 5 et 10 par persona).
Étape 3 : Rechercher les mots-clés
Quand vous avez détecter des schémas, c’est à dire des problématiques qui reviennent sur plusieurs personas, vous pourrez utiliser de nombreux sites internets, comme answerthepublic, ubersuggest, google search console, semrush, etc. pour les traduire en requêtes.
Pour faciliter la lecture de cette recherche nous vous conseillons de tout classer dans une Mind Map. Cette “carte mentale” va permettre de déterminer les grandes problématiques de vos cibles et leur arborescence en fonction de leur stade dans la buyer journey.
Pour que le cocon sémantique soit efficace, chaque page doit être optimisée et le mot-clé qui lui sert de référence doit provenir du champ sémantique de la requête principale.
Le plus souvent, notamment pour la rédaction des pages inférieures, il est recommandé d’opter pour des mots-clés composés de deux composantes ou plus, ce qu’on appelle les mots-clés de longue traîne.
Étape 4 : Rédiger les contenus
Après l’étape des mots-clés, on peut enfin se consacrer à la rédaction des pages en tenant compte, pour chacune d’elles, des métas-mots qui doivent impérativement s’y trouver.
Ces méta-mots devront être positionnés aux bons endroits pour effectuer le lien entre les pages et s’assurer que chaque lien proposé le soit dans un contexte approprié.
Pour cela vous pouvez utiliser des outils comme Your Text Guru ou Surfer SEO qui sont très pratique pour structurer vos briefs rédacteurs (ou fiche d’angle) et qui vous donnerons notamment un score SEO.
Étape 5 : Intégrer les pages dans le site internet
C’est l’étape de routine classique pour intégrer chaque contenu en ordre utile sur le site internet. A noter qu’il y a deux types de cocons sémantiques :
- les cocons sémantiques étanches qui sont hors du flux d’actualité. Ces derniers sont constitués sous forme de pages dans wordpress et non en article,
- les cocons sémantiques non étanches qui seront traités sous formes d’articles et qui ressortiront dans vos flux.
Plus le cocon est étanche et moins le robot Google aura de portes de sortie donc il passera plus de temps à naviguer dans le réseaux de pages thématisé. C’est plus efficace mais aussi plus dangereux car il ne faut pas piéger le Robot Google sous peine de pénalité. Dans le cadre des cocons étanches il est recommandé de mettre des liens externes pour tromper l’ami Google ;).
Le guide de la page pilier et son rôle dans le cocon sémantique
Pour établir un cocon sémantique, il est indispensable de créer une page pilier, ou page mère dont le contenu doit être long.
Cette page a vocation à se retrouver tout en haut de la hiérarchie (c’est la patronne).
Cette page-phare doit s’étaler sur un minimum de 1500 à 2000 mots, mais certains sites n’hésitent pas à proposer une page pilier comportant un article de 5.000 mots ou plus.
La mission de cette page pilier est sans équivoque : elle doit se référencer sur le mot-clé principal et offrir à l’internaute une vision globale sur la thématique explorée. Il doit y trouver une réponse – ou un début de réponse – à toutes les questions qui entrent dans le champ de sa requête !
Cette concentration de réponses sur la page pilier vise évidemment à garder les lecteurs sur le site.
Il y a trois étapes essentielles pour construire une page pilier :
- Il faut commencer par déterminer la thématique centrale, en l’occurence le mot clé visé.
- À partir de ce fil rouge, il faut identifier tous les sujets connexes afin de distinguer les pages qui seront indispensables pour détailler les différentes sous-thématiques.
- Enfin, toujours à l’appui des requêtes potentielles des internautes, il faudra créer des pages satellites qui viendront nourrir votre page pilier par un maillage adéquat.
Comment faire le maillage interne dans un cocon sémantique ?
Par définition, le maillage interne doit inviter l’internaute (et le robot Google) à découvrir d’autres pages du site consulté, par opposition au maillage externe qui renvoie vers des contenus hébergés en dehors.
À l’image d’un arbre généalogique, le cocon sémantique va établir des liens entre des pages mères, des pages enfants et des pages petits-enfants.
Toute cette arborescence doit respecter une logique de sens en fonction de la thématique abordée.
Même si la structure du maillage varie pour chaque cocon, on peut partir du postulat que :
- Une page mère doit établir des liens vers les pages enfants.
- Les pages enfants doivent établir des liens vers la page mère et les pages petits-enfants.
- Les pages petits-enfants doivent établir des liens vers les pages enfants et parfois vers la page mère.
En termes de contenu, la page mère sera la plus exhaustive et devra délivrer une véritable valeur ajoutée. Les pages enfants auront pour but de détailler certains points abordés dans la page mère, avec du vrai contenu. Enfin, les pages petits enfants sont davantage présentes pour le référencement et peuvent être moins travaillées.
Création, refonte, migration : quand mettre en place un cocon sémantique ?
Même si la logique est la même et que souvent ils sont rangés dans la même famille, attention à ne pas confondre le siloing et les cocons sémantiques.
Le siloing sert à organiser l’arborescence et la navigation d’un site internet menu, sous menu etc il est plutôt utilisé dans le cadre d’un site E-commerce. Cette technique consiste à créer des groupes de pages correspondant à des catégories de mots-clés. C’est ce qu’on appelle les silos.
Dans ce type de structure s’appuie sur un mot-clé principal auquel on affilie les pages traitant des mots-clés secondaires, en fonction des thématiques.
Le cocon sémantique s’inspire d’une autre racine : la problématique de la cible et s’appliquera dans le cadre de recherches informationnelles et non commericale. Il est donc possible de créer des cocons sémantiques n’importe quand dans la vie d’un site web au gré des opportunités.
La question du cocon sémantique peut intervenir à différents moments.
Lors du lancement d’un site
Partir d’une page blanche, c’est le plus facile. Quand tous les contenus restent à faire, il est plus simple de respecter les étapes du processus décrit ci-avant pour créer une structure fluide.
La création du cocon sémantique reste un travail exigeant, mais il est toujours plus facile de monter un mur avec de nouvelles briques que d’assurer une construction avec des éléments hétéroclites.
Lors de la refonte d’un site
La mise en place d’un cocon sémantique peut aussi s’envisager lors du rafraîchissement ou de la refonte d’un site existant.
Si le site de départ n’est pas trop volumineux, ce sera l’occasion de revoir sa charpente et de créer de nouveaux contenus pour l’étoffer. Il s’agira bien sûr de penser les nouvelles pages dans l’intérêt du public cible, pour répondre à ses questions potentielles.
Si le site de départ contient déjà de nombreux contenus, les risques d’erreurs sont évidemment multipliés. Il existe toutefois des outils qui permettent d’analyser un site en profondeur pour détecter l’ensemble des liens qu’il contient, qu’ils soient internes ou externes.
Cette aide peut s’avérer indispensable pour démêler l’écheveau et repositionner toutes les pages au bon étage, autour d’un nouveau pilier.
Au cours de la vie d’un site
Les problématiques de vos cibles évoluent tout le temps, il faut tous les ans retravailler vos personas en réalisant de nouvelles interviews. Ces interviews vous permettront de découvrir de nouvelles opportunités de mots clés.
Les erreurs à éviter en créant un cocon sémantique
Quand on cherche à se positionner sur un mot-clé, il faut s’intéresser à toutes ses nuances et ne pas tomber dans l’excès.
Il est important que votre cocon ne devienne pas un serpent qui se mange la queue en proposant des pages au contenu trop similaires :
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Pour cet exemple, nous avons volontairement chargé la mule, mais l’expérience démontre que de nombreux sites abusent en produisant des articles qui repassent quasiment les mêmes plats, sans aucune valeur ajoutée d’une page à l’autre.
Et si notre œil le voit, sachez que cela n’échappe pas davantage aux robots. Cette cannibalisation des mots-clés fait que les pages se concurrencent … sans apporter la visibilité escomptée.
L’autre erreur, c’est de négliger des liens de maillage vers des pages enfants utiles qui pourraient vraiment conserver l’attention de l’internaute.
Pour revenir à notre exemple des scies sauteuses, il serait malheureux de ne pas mettre le lien vers la page où vous proposez un système de financement spécifique pour l’outillage.
Les différents acteurs et les compétences requises pour mettre en place un cocon sémantique
Pour donner vie à un site internet, il y a de multiples choses qu’un entrepreneur peut décider de faire seul dans son coin : une maquette, des articles, une page contact, etc. Il existe d’ailleurs de multiples outils qui permettent aux amateurs et aux autodidactes de mettre un site en ligne sans une seule ligne de code, ou presque.
Mais pour ce qui est du cocon sémantique, c’est une autre affaire !
Souvenez-vous que c’est un outil qui doit faire ses preuves à long terme. Ne prenez donc pas le risque de construire un mur appelé à se lézarder et mettez-vous en rapport avec un partenaire qui dispose à la fois de l’expertise et de l’expérience du cocon sémantique.
Il y a des experts SEO et des spécialistes du cocon sémantique : prenez le temps d’explorer leurs offres et de les contacter.
Comment représenter visuellement la structure d’un cocon sémantique ?
L’utilisation d’une Mind Map est recommandée pour la mise en place d’un cocon. C’est une méthodologie de travail familière dans le développement web pour organiser les idées, les lister et les relier.
Avec une Mind Map, il est facile de créer un plan d’action et de visualiser l’ensemble du site web.
Après, tout est question de méthode et d’application, mais celui qui respecte les différentes étapes peut logiquement s’attendre à générer plus de trafic.
Il faut en effet savoir que le GoogleBot est capable d’identifier les pages web créées en fonction des besoins de l’internaute. C’est une clé utile pour le SEO.
En tout état de cause, le contenu doit toujours apporter des éléments pertinents par rapport à la recherche de l’internaute. Dans le cas contraire, les algorithmes du géant de Mountain View détectent les pages creuses et rétrogradent le site dans le classement des résultats.
Comment suivre les performances d’un cocon sémantique ?
Toute la démarche du cocon sémantique vise à booster le référencement naturel et de gagner des places dans les résultats de recherche.
Après l’implantation d’un cocon sémantique, il est donc gratifiant d’observer les résultats et divers indicateurs permettent de le faire.
L’analyse des logs – les fichiers qui enregistrent ce qui se passe sur les pages d’un site, à la façon d’un journal de bord – permet de mesurer l’activité des internautes et de faire des observations utiles : quelles sont les pages qui cartonnent, celles qui fonctionnent moyennement et celles qui demandent à être retravaillées ?
Au-delà, l’analyse des logs permet aussi de vérifier ce qu’on appelle le crawl des moteurs de recherche, à savoir la fréquence avec laquelle les robots se rendent sur les pages pour en tenir compte dans les classements. C’est l’une des façons de voir quelles sont les pages qui prennent bien et celles qui accusent un déficit de performance.
Via Google Analytics et la search console, les outils liés au moteur de recherche qui est de loin le plus utilisé, vous pouvez vérifier si le cocon fait son œuvre et s’il dirige les internautes vers les pages pertinentes, conformément à votre stratégie de conversion.
Certains outils permettent aussi de suivre le positionnement des mots-clés. À partir de la mise en ligne de votre cocon sémantique, ils vous diront rapidement si le ROI de votre site augmente au fil des semaines et si vos pages grimpent dans la SERP.
La maintenance du cocon sémantique : comment le mettre à jour ?
Le cocon sémantique n’est pas un être vivant, mais il n’est pas non plus figé dans le marbre. Pour garder son efficacité, il est nécessaire de mettre à jour les contenus de façon régulière.
Si les requêtes des internautes évoluent en fonction d’une tendance du marché – imaginons une nouvelle mode dans votre secteur d’activités – les contenus datés souffriront immanquablement d’un retard à l’allumage.
Il faut donc revoir régulièrement le contenu des pages décisives – pages mères et pages enfants notamment – pour chasser les informations désuètes et traquer les liens qui n’ont plus lieu d’être.
Le cocon sémantique a-t-il réellement un impact ?
Il y a actuellement 2 milliards de sites internet dans le monde, pour 1 milliard en 2014.
Ces données chiffrées intègrent de nombreux sites inactifs et des noms des domaines parqués, mais le constat reste sidérant : le magma du web est considérable !
Dans cette foison, chacun doit trouver la bonne façon de tirer son épingle du jeu pour toucher sa cible.
Avec tant de sollicitations, l’internaute est facilement tenté de passer d’un site à l’autre, pour mille et une raisons : la curiosité, la distraction, la lassitude, une navigation pénible, un design d’un autre âge, etc.
Mais ce qui fait surtout qu’il abandonne un site pour se plonger vers un autre, c’est l’absence de réponses aux questions qu’il se pose. C’est sur ce point que votre cocon sémantique peut révéler sa puissance et favoriser la conversion que vous attendez.